Bonjour, je m’appelle Ihsane Khalfallah, j’ai 25 ans. Je suis diplômée du Master Carrières Internationales de l’UCA, après des études en langues appliquées, journalisme, et dans le domaine du fait religieux. Actuellement, je suis co-coordinatrice de l’OSEEM aux côtés de Clara Déat et Loïc Merard, et je m’investis au sein du pôle communication. En parallèle, je suis AED dans un collège et je continue de travailler sur mon projet professionnel dans le journalisme.
Je suis Noémie Fel, j’ai 23 ans. Je suis diplômée du Master Carrières Internationales de l’UCA aussi, après une licence spécialisée en droit privé. Au sein de l’OSEEM, je suis au pôle éditorial avec Antoine Jourdet, Sarah Azaz, et Sacha Coscia-Moranne. Je n’ai pas fait partie de la fondation de l’OSEEM, mais suis arrivée début octobre, avec Antoine Jourdet. En parallèle, je suis juriste au Centre d’Information sur les Droits des Femmes et des Familles (CIDFF) de la Loire.
Bonjour, je m’appelle Sarah Oriol, ancienne étudiante du Master Carrières Internationales à Clermont Ferrand. Je suis actuellement co-responsable du site web de l’OSEEM, en parallèle de ma préparation au concours d’avocats et du Ministère de l’Europe et des Affaires Étrangères.
Bonjour, je m’appelle Sacha Coscia-Moranne, également ancienne étudiante de la promotion 2019-2020 du Master Carrières Internationales et je suis la responsable du pôle communication de l’OSEEM. Je travaille également avec le pôle éditorial. Parallèlement à ce projet, j’étudie le droit international et comparé de l’environnement dans le cadre d’un second master afin de me spécialiser dans cette branche.
L’OSEEM, c’est un joli projet né un peu par hasard, l’an dernier, en plein confinement. Après l’annulation des stages, nous avons monté à 10 cet Observatoire Stratégique Étudiant pour l’Europe et la Méditerranée. Le but était de rendre accessible à tous, et notamment aux jeunes, des analyses recherchées sur des sujets de géopolitique, sociétaux ou concernant les biens communs. Depuis, l’équipe a un peu changé et elle s’est agrandie puisqu’elle compte plus de 20 membres aujourd’hui.
L’OSEEM, c’est un site web qui regroupe plusieurs types d’articles : des dossiers, des brèves, mais aussi des podcasts et des vidéos. Avec le pôle éditorial, nous faisons en sorte d’aborder des sujets très divers : cela va du Brexit, au terrorisme, en passant par la crise sanitaire, les enjeux climatiques et les questions de défense. Tout cela en essayant toujours de pousser la réflexion pour permettre aux lecteurs de faire marcher leur esprit critique. On continue notre analyse sur les réseaux sociaux, comme Instagram, Twitter, LinkedIn ou Facebook où nous proposons une veille géopolitique hebdomadaire sur nos sept zones géographiques de travail. Le pôle communication nous permet ainsi de mettre en valeur nos écrits mais aussi de partager de l’information sous une forme encore plus ludique.
L’OSEEM, c’est une initiative étudiante qui a vu le jour en mai 2020 pendant le premier confinement. Nous avons toutes les deux eu la chance d’y participer dès son commencement. Notre but est d’informer au mieux nos lecteurs, et le plus clairement possible, sur les questions sociétale, géopolitique et environnementale en Europe Centrale et Orientale et en Méditerranée. Nous assurons également une veille géopolitique hebdomadaire sur nos réseaux sociaux.
En tant que responsables du site web, nous sommes chargés d’y publier les contenus ainsi que d’en assurer la maintenance. C’est une expérience très formatrice pour quelqu’un qui n’avait aucune notion en la matière au début du projet. Vous pouvez d’ailleurs accéder à notre nouveau site relooké entièrement à l’adresse suivante : www.oseem-eum.org
Avec le pôle communication nous assurons la représentation de l’OSEEM sur nos différents réseaux sociaux en publiant chaque semaine des posts visant à présenter les articles parus sur le site et en assurant la veille géopolitique tous les lundis.
L’Europe est sans doute un des continents les plus riches et diversifiés que ce soit au niveau politique, historique, social, religieux ou culturel. C’est assez fascinant d’analyser les interactions entre les populations et de comprendre comment les relations internationales s’articulent malgré les différences.
Le gros atout de notre équipe est qu’elle est composée de personnes ayant des centres d’intérêts et de passions très divers, ce qui permet à chacun de pouvoir traiter le sujet qui lui plaît, et de pouvoir trouver son bonheur ! Et avec une zone de travail aussi large que l’Europe, et étendue à la Méditerranée, nous avons l’embarras du choix !
Avec l’OSEEM, on aborde tout, sans tabou mais toujours en s’appuyant sur des sources fiables, des recherches approfondies, universitaires, journalistiques pour donner un point de vue clair et argumenté, en essayant tout de même d’adopter une certaine neutralité, sur n’importe quel sujet.
L’Europe fait avant tout partie de nous, de notre histoire. C’est une institution fédératrice très intéressante à étudier sur différents plans : que ça soit d’un point de vue géopolitique en ce qui concerne les relations entre Etats et les relations extérieures de l’Union Européenne, mais aussi des biens communs (Green New Deal, énergies), ou d’un point de vue sociétal.
Nous avons eu la chance de régulièrement travailler ensemble depuis la création de l’OSEEM en raison de nos centres d‘intérêts communs. Ayant une appétence particulière pour les questions environnementales, Sacha suivant d’ailleurs un Master spécialisé cette année, nous avons tenté de varier nos publications, allant de la position polonaise en matière d’environnement à la situation relative aux gisements gaziers en Méditerranée. De plus, nous avons toutes les deux eu la chance d’effectuer un échange Erasmus à Saint-Jacques de Compostelle en Espagne, ce qui nous a permis de développer un lien particulier avec ce pays. Enfin, nous portons également un intérêt particulier aux questions sociétales, surtout liées à la culture, comme dans notre vidéo sur la reconversion de Sainte-Sophie publiée cet été.
Avant la pandémie, il nous semble que beaucoup aurait dit que LE défi de l’Union européenne était le réchauffement climatique et, par extension, la bonne mise en œuvre du Green Deal. C’est toujours le cas évidemment, mais aujourd’hui la donne a changé. La crise sanitaire a mis en avant une vérité existant depuis la création de l’UE : elle doit retrouver sa raison d’être pour pouvoir être légitime, s’imposer face aux Etats, et créer une véritable volonté politique commune. Malgré le travail de l’UE pour pallier les aspects négatifs de la crise à long terme, les Etats européens sont en train de se déchirer, et le qualificatif “d’union” est plus que jamais remis en cause.
En cette période particulière, le plus grand défi à surmonter reste bien sûr celui de la crise sanitaire et ses conséquences. Le but de l’UE étant d’y faire face, tout en maintenant une véritable solidarité entre ces États Membres (production du vaccin, aide médicale avec des transferts de patients…). Il est vrai qu’en raison des derniers évènements, qu’ils soient liés à la crise sanitaire, au Brexit (avec la sortie d’un pays puissant de l’UE), ou à la montée du populisme, la solidarité européenne est fortement mise à mal et sollicitée. Le principal défi de l’UE semble donc résider dans le maintien et le renforcement de cette solidarité, cette coopération, qui fait sa marque de fabrique.
L’OSEEM est avant tout un projet jeune, par des étudiants de l’Ecole de Droit de l’Université Clermont Auvergne. Même s’il a été grandement monté par nous, étudiants, et qu’il continue d’évoluer avec la nouvelle promotion, il n’existerait pas sans l’UCA et nos responsables de master Marie-Elisabeth Baudoin et Frédéric Charillon qui nous ont épaulé. On souhaite les remercier !
En espérant que notre projet vous intéresse, n’hésitez pas à faire un tour sur notre site web ainsi qu’à nous suivre sur nos différents réseaux sociaux. Au programme : présentation de nos publications, sondages et même petits quizz pour garder le contact pendant cette période difficile ! A bientôt.