Depuis 2019, le Centre Europe Direct Clermont Puy-de-Dôme dote le prix du meilleur film européen, pendant le Festival international du court-métrage, parmi les films en compétition internationale. La réalisatrice ou le réalisateur du film lauréat reçoit 1 500 €.
Le film lauréat du prix du meilleur film européen est automatiquement candidat dans la catégorie “courts-métrages” en vue de la 36e édition des European Film Awards.
Fondée en 1988, l’Académie Européenne du Film réunit 4 400 professionnels européens du cinéma dans le but commun de promouvoir la culture cinématographique de l’Europe.
Remise du Prix du Meilleur film européen 2022 par Lionel Chauvin,
Président du Département du Puy-de-Dôme
Les gagnants du prix du meilleur film européen :
2020 : “Invisivel Heroi” de Cristèle Alves Meira, Portugal, Fiction, 28’. La réalisatrice fait partie du jury international en 2023 !
2021 : “Dalej jest dzien” de Damian Kocur, Pologne, Fiction, 25’
2022 : “The bayview” de Daniel Cook, Royaume-Uni (Écosse), Documentaire, 18’
2023 : “Las visitantes” d’Enrique Buleo, Espagne, Fiction, 15′
Remise du prix du meilleur film européen 2023
Las visitantes d’Enrique Buleo devient candidat pour les European Film Awards
Pendant le Festival, se déroule également le Marché du Film Court, qui est le plus important marché pour les professionnels du court-métrage du monde entier. Ce marché est co-financé par le programme européen “MEDIA“, l’un des 2 volets du programme “Creative Europe“.
En 2019, 186 057,21 € de fonds européens ont été accordés à l’association “Sauve qui peut le court-métrage” pour l’organisation du marché du film court à Clermont-Ferrand.
Créé en 1986, le Marché du film court attire plus de 3500 professionnels du monde entier, avides de consulter un catalogue de plus de 7500 films envoyés dans l’espoir de figurer dans l’une des compétitions du Festival. Sauve qui peut le court métrage organise une cinquantaine de rencontres destinées à rapprocher réalisateurs, producteurs, diffuseurs et acheteurs.
Il existe également 2 sélections “Prix du public européen”, où c’est le vous qui votez.
9 films sont à visionner et à noter de 1 à 5 (sauf le film français “Partir un jour” pour lequel le public français ne peut évidemment pas voter).
EUR 1 :
EUR 2 :
Ouverture de la 45ème édition du Festival par Eric Roux
“La diversité est inhérente à ce qu’est le court métrage et ce qu’est le festival. En Européen convaincu, l’un des axes essentiels à l’existence de ce que nous essayons de fabriquer, d’un point de vue social et culturel au niveau de l’Europe, c’est bien une acceptation, une curiosité, une envie de la diversité. (…) Clermont-Ferrand est une ville essentielle dans ce qu’est l’expression cinématographique aujourd’hui en France, en Europe et dans le monde.“
Eric Roux, Président de l’association “Sauve qui peut le court-métrage”. Source La Montagne 27/01/2023.
Si l’Europe est à l’honneur pendant le Festival, il y en a pour tous les goûts et tous les âges ! Plus de 500 films sont programmés dans 13 salles de projection, des compétitions nationale, internationale et labo, Taïwan à l’honneur, rétros Libido, regards d’Afrique, des séances enfants…. Et aussi des expositions, des conférences, l’atelier (studio éphémère de cinéma), des concerts tous les soirs au Lieu-Dit et des petits ateliers du cinéma à Mille Formes !
Tous le programme des événements en parallèle des films ici.
Le groupe territorial de la mobilité européenne du Puy-de-Dôme ont organisé une journée de promotion de la mobilité européenne et internationale pour les 15-30 ans, le 30 novembre dernier au Lieu-Dit à Clermont-Ferrand.
Plus de 90 jeunes ont participé à 6 ateliers sur les programmes de mobilité, l’interculturalité, leurs envies de partir, et autour de témoignages de jeunes revenus de mobilité (jeune fille au pair, Erasmus+, Corps Européen de Solidarité…).
Le but était de lutter contre l’auto-censure de nombreux jeunes, en informant sur les nombreuses possibilités de bouger en Europe. Cela s’inscrit dans l’année européenne de la jeunesse et les 35 ans du programme Erasmus+.
A l’issue des ateliers, tous les partenaires, les jeunes et le grand public ont échangé autour de stands, pour pouvoir poser leurs questions et obtenir des informations et des brochures sur la mobilité.
La journée s’est suivie d’une soirée spectacle extraordinaire, mêlant danse hip-hop, théâtre d’improvisation et la musique assistée par ordinateur.
Les compagnies Arts Qi Med, Do it for the culture et Fat’Fil ont proposé une création originale sur le thème de la mobilité.
De jeunes clermontoises se « rêv’el-ent » ensemble au public. Utopie pluridisciplinaire élaborée par la chorégraphe Fatima Zahra El Moumni et le musicien et compositeur Philippe Bonnet, produit par le festival “Les Trans’urbaines”, cette performance a enchanté le public, par l’énergie dégagée des jeunes filles et par la qualité du mouvement.
La Musique Assistée par Ordinateur, c’est l’art du beatmaking, du recyclage sonore et de la transformation. Un art qui puise sa matière dans les vieux disques… Un bruit, la nature, le quotidien, la circulation, une mélodie qui résonne. C’est réinventer la musique ! Des jeunes ont participé à l’élaboration de la bande-son diffusée ce soir-là, lors d’ateliers précédents le 30 novembre.
Le théâtre d’impro, c’est mettre la lumière sur la créativité, l’imagination, le lâcher-prise et la fantaisie. Le tout dans un esprit de coopération, de jeu et d’exploration. Daniela et Malcom sont 2 jeunes qui ont accepté de se prêter au jeu et se sont lancés sur scène sans être acteurs, aux côtés de Bastien et Pauline de la compagnie Arts Qi Med.
Les partenaires du groupe territorial de la mobilité du Puy-de-Dôme :
Comme chaque année depuis 2018, la Direction des Relations Internationales et de la Francophonie (DRIF) de l’Université Clermont Auvergne (UCA) organise le concours “My Erasmus Spot“. Il s’agit d’un jeu concours récompensant la meilleure vidéo de 30 secondes présentée par les étudiant.e.s sur les bénéfices de leur expérience Erasmus+. 2022 marquant les 35 ans du programme Erasmus+, c’était aussi le thème du concours.
Cette année encore, les étudiant.e.s revenus de mobilité ont présenté leur vidéo lors de la Journée de la Mobilité Internationale (JMI) pendant les Erasmus Days.
Le 13 octobre 2022, les participant.e.s à la JMI ont découvert les vidéos et voté en direct pour leur préférée !
Ainsi les 3 lauréat.e.s sont :
Bravo à eux 3 !
Vous pouvez retrouver toutes les vidéos des lauréats de chaque année sur notre page vidéos.
Afin de parler d’Europe à toujours + de publics, de sensibiliser de nouvelles personnes, en particulier les jeunes, le Centre Europe Direct a noué un partenariat avec un média en ligne auvergnat : En Vrai.TV.
L’idée est de communiquer de façon décalée sur les réseaux sociaux.
Retrouvez nos vidéos régulièrement tout au long de l’année !
Vidéo N°8 : “les 100” : c’est quoi être citoyen.ne européen.ne ?
La 7ème vidéo a été réalisée lors de notre échange de jeunes européen.ne.s en mars 2023,
où 10 Italien.ne.s, 10 Français.e.s et 10 Allemand.e.s sont venu.e.s une semaine à Theix pour parler citoyenneté européenne
Vidéo N°7 : La journée internationale des droits des femmes – 8 mars 2023
Le 8 mars, c’est la journée internationale des droits des femmes
l’occasion de parler des femmes qui ont fait l’Europe et qui continuent aujourd’hui !
Vidéo N°6 : Partir 1 jour en Europe et au-delà – novembre 2022 :
La 6ème vidéo fait la promotion de notre événement sur la mobilité européenne :
“Partir un jour en Europe et au-delà”
90 jeunes se sont réunis le 30 novembre 2022, au Lieu-Dit à Clermont-Ferrand.
Vidéo N°5 : Daniela, volontaire européenne et Giacomo, Président des JEA – octobre 2022 :
La 5ème vidéo est sortie pour les Erasmus Days 2022, sur le thème de l’engagement européen des jeunes.
Direction les studios d’En Vrai.TV pour Giacomo Lanzi, Président des Jeunes Européens Auvergne et Daniela Walova, CES à Concordia Auvergne, qui témoignent de leur volonté et de leurs expériences.
Vidéo N°4 : l’Europe & l’environnement – juillet 2022 :
Tournée au sommet du Puy-de-Dôme, la 4ème vidéo évoque l’Europe et l’environnement : une Vraie visite pédagogique !
Une classe de 2nde du lycée Louis Pasteur à Marmilhat est devenue incollable sur Natura 2000, les volcans d’Auvergne et d’Europe et sur le Pacte vert pour l’Europe, le 8 juin dernier. Malgré le mauvais temps, les lycéen.ne.s ont profité des lumières de Pépita Godelle, chargée de mission Natura 2000 au Parc Naturel des Volcans d’Auvergne, Samir El Bakkali, vulcanologue et Conseiller municipal délégué, ainsi que Maëva Guittard, stagiaire à la Ville de Clermont-Ferrand.
Vidéo N°3 : Promenade européenne – mai 2022 :
La 3ème vidéo sortie pour le Joli Mois de l’Europe, vous emmène dans une promenade européenne !
Découvrez les nombreux liens entre l’Europe et notre territoire !
Vidéo N°2 : Cécile Coulon et la Capitale Européenne de la Culture 2028 – mars 2022 :
La 2ème vidéo sortie début mars met à l’honneur le Festival International du Court-Métrage
et Cécile Coulon, poétesse et Présidente de l’association “Clermont Massif Central 2028” !
Vidéo N°1 : Olivier Bianchi et la dimension européenne de notre territoire – février 2022 :
Pour inaugurer comme il se doit cette nouvelle série, c’est le Maire de Clermont-Ferrand et Président de Clermont Auvergne Métropole, Olivier Bianchi qui évoque les liens entre notre territoire et l’UE.
L’espace d’accueil du Centre Europe Direct s’est transformé en véritable studio télé !
Connaissez-vous le tiers-lieu “Le Grin“, rue Saint-Hérem à Clermont-Ferrand ?
Cette librairie d’occasion/café/média est un lieu en centre-ville où vous pouvez acheter des livres (mais aussi en donner!), boire un café ou un jus malien, participer à des débats (des “grins”) et où des podcasts sont produits. Ce tiers-lieu est porté par l’association Kodon. Or cette asso est lauréate de l’appel à projets Mindchangers !
Il s’agit d’un dispositif de soutien financé par la Commission européenne dans le but de renforcer les connaissances et l’engagement des citoyens sur les Objectifs de développement durable (ODD).
Conçu et développé dans 6 territoires européens, ce projet recherche tout particulièrement à encourager les jeunes à s’engager en faveur des ODD et à promouvoir des moyens d’agir sur les problèmes spécifiques liés au changement climatique et aux migrations, tant dans les pays du Nord qu’au Sud.
C’est dans ce contexte qu’est présenté « Le Bruit qui Court – Campus », un projet de podcast incluant la participation d’étudiantes internationales de la ville de Clermont-Ferrand, visant à promouvoir et répondre à l’ODD : « Egalité entre les sexes ».
Les 2 objectifs du projets sont :
1. Favoriser l’intégration des jeunes étudiantes internationales en Auvergne-Rhône-Alpes en les fédérant autour d’un projet commun ;
2. Permettre la transmission de leur culture et tradition, en les rendant actrices d’un projet audio, sous format podcast qui promeut l’égalité des sexes et de genre.
Chaque étudiante internationale, pourra valoriser son parcours de migration en donnant la parole à sa famille, ses proches, qui habitent son pays d’origine sur des questions relatives aux droits des femmes. Les enregistrements seront rendus sous la forme d’un épisode de podcast, pour permettre une diffusion sans limite de frontière.
Ce projet est porté par le média « Le Bruit qui Court Podcast ». Ce podcast féministe internationaliste, donne déjà la parole aux femmes du monde entier depuis près de 2 ans, afin de déconstruire tous les préjugés concernant leurs vies, leurs droits et leurs traditions.
Le projet a aussi pour objectif de mettre en lumière le parcours migratoire des jeunes étrangères et d’aborder la thématique du climat.
Pour mener à bien ce projet, 7 étudiantes venant du Liban, d’Espagne, de Slovaquie, d’Indonésie, du Bénin, du Gabon et de République Centrafricaine et 4 étudiantes d’Auvergne-Rhône-Alpes, âgées de 18 à 26 ans composent l’équipe multiculturelle.
Ces témoignages bruts, seront ensuite exploités au Grin, qui accueillera des chercheur.euses, artistes, et intellectuel.les pour développer ce même sujet, mais de manière académique. Ainsi, d’autres acteurs de la société civile locale (association, membre de la diaspora…) interviendront pour rencontrer et échanger avec les jeunes.
Crédit photos : Floriane Decory pour le Grin
Erasmus +
Depuis le 1er septembre 2019, le collège La Charme et le collège Albert Camus à Clermont-Ferrand sont engagés dans 2 projets du programme Erasmus+ : Playing with Maths et Journey.
Dans le cadre des Erasmus Days, les élèves et enseignants venant des différents établissements européens partenaires ont été accueillis en octobre au collège Albert Camus à Clermont-Ferrand
Ces projets, qui impliquent un travail commun et des échanges de pratiques éducatives, sont des partenariats stratégiques.
Playing with Maths
L’ambition de ce projet, dont le collège La Charme est coordonnateur, est de trouver de nouvelles approches innovantes pour enseigner les mathématiques à des élèves qui à cet âge sont curieux, interrogatifs et ont une imagination riche. L’apprentissage se fait alors par l’observation, l’expérimentation, la découverte et les jeux. Les enfants testent de nouvelles idées, utilisent leurs capacités de raisonnement et leurs compétences pour résoudre des problèmes et chercher des réponses à leur monde. Le but est aussi de montrer aux élèves que les maths sont omniprésentes dans la vie réelle et dans de nombreux domaines comme les sciences, les TIC(Technologies d l’information et de la Communication), le théâtre, les arts ou encore la musique.
Les partenaires du projet sont : Valpovo en Croatie, Xanthi en Grèce, Funchal, à Madère au Portugal et Aydin en Turquie.
Journey
Ce projet qui met l’accent sur la culture, s’attache à faire prendre conscience aux élèves de leur identité, de leurs caractéristiques propres et de la richesse culturelle qui les entoure. L’objectif de Journey est de de transférer le patrimoine culturel aux jeunes générations, mais aussi de faire évoluer les enfants en tant qu’individus, tout en renforçant leurs capacités scolaires.
Les partenaires de ce projet sont : Murcia en Espagne, Cefalu en Sicile en Italie, Mikkeli en Finlande, Ikšķile en Lettonie et Aydin en Turquie.
D’une durée initiale de 24 mois, ces projets Erasmus+ ont été prolongés d’une année en raison de la crise sanitaire et s’achèveront donc le 31 août 2022.
Du 1er au 12 novembre, la Commission européenne participe à la conférence des Nations unies sur les changements climatiques dite COP26, à Glasgow, au Royaume-Uni.
La Présidente Ursula von der Leyen représente la Commission lors du sommet mondial des dirigeants qui ouvre officiellement la COP 26, avec Frans Timmermans, Vice-Président et la Commissaire à l’énergie Kadri Simson.
La Commission incitera toutes les parties à respecter leurs engagements au titre de l’accord de Paris et à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre. Elle demandera également instamment aux pays développés d’accroître leur financement de la lutte contre le changement climatique afin d’atteindre l’objectif de 100 milliards de Dollars convenu à Paris, auquel l’UE contribue déjà à hauteur de plus de 25 milliards de Dollars, et plus encore à l’avenir.
6 ans après l’adoption des accords de Paris, l’UE négocie la finalisation des “règles de Paris” pour leur mise en œuvre, afin de trouver un accord qui garantisse l’intégrité environnementale des marchés mondiaux du carbone, ainsi que des obligations en matière de transparence et de communication d’informations.
L’UE accueille plus de 150 évènements parallèles dans le pavillon de l’UE, à Glasgow et en ligne. Parmi ces événements, le projet URBACT “UrbEnPact” porté par Clermont Auvergne Métropole réunit tous ses partenaires européens.
Du 3 au 5 novembre, 6 territoires faisant partie du réseau européen UrbEnPact participent à la COP26 à Glasgow, afin de montrer que les villes, quelle que soit leur taille, peuvent et se doivent d’agir à leur échelle pour lutter contre le changement climatique. L’objectif est de montrer que s’engager pour la transition écologique n’est pas uniquement réservé aux États et aux grandes villes.
Ilari Rautanen,
Tampere, Finlande
Le projet « Urban Energy Pact » du programme européen de coopération entre villes d’Europe URBACT réunit :
Objectif : définir un plan d’action concret impliquant tous les acteurs métropolitains, permettant à chaque ville partenaire de devenir un territoire à énergie positive d’ici à 2050.
Nicolas Mayer-Rossignol,
Métropole Rouen Normandie
Révéler le potentiel des villes et de leur territoire pour surmonter les défis environnementaux à l’occasion de la COP26 : à Glasgow, la délégation de 35 personnes (représentants élus, experts en énergie, techniciens, etc.) venant de 6 villes du réseau UrbEnPact est déterminée à partager sa vision du rôle que les villes ont à jouer dans la lutte contre le réchauffement climatique. Les villes doivent être des éléments moteurs du changement, fédérer, innover et mobiliser. Le réseau UrbEnPact s’engage à être le porte-parole des territoires dans le cadre de la COP26 de Glasgow. Pour se faire entendre, la délégation participera aux évènements de la COP26 dédiés à la finance, à l’énergie, à la responsabilisation, et à la jeunesse.
Inspirer, encourager et s’engager : le point d’orgue de la participation de la délégation UrbEnPact à la COP26 sera un débat à l’Hôtel de Ville de Glasgow avec les représentants des villes de Pittsburgh (États-Unis), de Portland (États-Unis) et de Glasgow (Écosse) en présence de l’ancien maire de New York, Mike Bloomberg. La discussion portera sur la meilleure manière de sensibiliser les populations, à l’heure où tous les acteurs de la société doivent agir pour préserver l’avenir de notre planète et les générations futures.
Carmen Piritore,
Palma di Montechiaro, Italie
La vision du réseau Urb-En Pact : Pour le réseau, les villes sont des laboratoires vivants du changement. Elles mettent en place une transition concrète, efficace, sur-mesure et à taille humaine. Étant convaincues que les territoires sont l’échelle d’action pertinente, les villes partenaires cherchent à fédérer autour de la transition écologique. La participation d’une délégation à la COP26 permettra de promouvoir l’absolue nécessité de l’engagement des acteurs au niveau territorial.
Le réseau UrbEnPact veut aussi démontrer que des changements concrets et efficaces dans notre mode de vie doivent avoir lieu à toutes les étapes, dans toutes les actions, peu importe où nous sommes, qui nous sommes, où nous habitons et ce que nous faisons.
Pour atteindre cet objectif, les acteurs locaux doivent être les artisans du changement, pour établir un pacte fort, afin que chaque acteur joue son rôle et agisse pour le changement.
Le réseau a pour ambition de responsabiliser tous les acteurs du changement, en démontrant que les actions doivent être menées par tous et pour tous, que les villes doivent supporter et fédérer toutes les couches de la société.
A la veille des 2 sommets mondiaux que sont le G20 à Rome puis, la COP26 à Glasgow, la Présidente de la Commission européenne a déclaré : (extraits)
(…) “De fait, la COP26 repose principalement sur 3 piliers.
Le 1er pilier, c’est notre ambition. La grande question est donc : nos engagements à réduire les émissions sont-ils suffisants pour véritablement nous permettre de maintenir le réchauffement bien en dessous de 2 degrés, et proche de 1,5 degré ? Le dernier rapport des Nations unies sur l’écart entre les besoins et les perspectives en matière de réduction des émissions nous montre qu’actuellement, les CDN ne permettent pas d’atteindre les objectifs de l’accord de Paris, et que nous sommes donc toujours sur la voie très dangereuse d’un réchauffement climatique supérieur à 2°. C’est inquiétant, et nous devons faire mieux.
Le 2ème pilier concerne le financement de l’action climatique – je viens juste de le mentionner.
Et le 3ème pilier concerne les règles applicables aux marchés internationaux du carbone.
Nous devons progresser sur ces 3 fronts, principalement lors de la COP26 : il s’agit de l’ambition de réduire davantage les émissions, dès maintenant; il s’agit du financement de la lutte contre le changement climatique, au profit des pays les moins avancés et les plus vulnérables; et il s’agit de l’achèvement du corpus réglementaire. J’attends des négociateurs qu’ils fassent leur maximum pour que nous avancions réellement sur ces trois fronts.
Tournons-nous maintenant vers l’Europe : l’Europe est en bonne voie de devenir le premier continent climatiquement neutre d’ici à 2050. De nouveaux chiffrent montrent quelque chose d’intéressant: nous avons déjà réduit nos émissions de plus de 31 % par rapport à 1990, tout en connaissant une croissance de notre économie de 60 %. Je pense que c’est un message encourageant qui montre que réduction des émissions et prospérité peuvent aller de pair, que l’on peut réduire les émissions de gaz à effet de serre, produire de manière plus propre, plus saine et plus durable tout en développant l’économie. C’est exactement ce que nous devons montrer au monde et ce que nous devons montrer à nos populations. Nos citoyens attendent de nous que nous progressions à cet égard. (…)
Enfin, comme toujours, nous allons lancer plusieurs nouvelles actions à la COP26.
Avec le Président Biden, je vais lancer l’engagement mondial en faveur de la réduction des émissions de méthane. Avec cette initiative, nous nous engageons à réduire les émissions de méthane d’au moins 30% d’ici à 2030. Si vous regardez les émissions de gaz à effet de serre, le méthane est le levier sur lequel il est le plus facile d’agir. Son pouvoir de réchauffement est 80 fois plus important que celui du CO2 ; il est donc urgent d’agir et nous pouvons faire beaucoup. Je me réjouis donc que 60 pays nous aient rejoints jusqu’à présent. Bien évidemment, nous encourageons d’autres pays à se rallier à cette ambition.
La 2ème initiative que je vais annoncer est une contribution financière d’1 milliard d’Euros à l’engagement mondial en faveur des forêts. Elle inclut 250 millions d’Euros en faveur du bassin du Congo. Vous savez que la protection des forêts du monde entier constitue une priorité pour l’Union européenne. Les forêts sont nos meilleures alliées dans la lutte contre le changement climatique; nous devons donc réellement les protéger.
La 3ème initiative que nous allons lancer concerne l’innovation. L’innovation est essentielle pour lutter contre le changement climatique et progresser sur la voie d’une économie circulaire caractérisée par des procédures de production propre et une consommation plus durable. Les technologies de demain seront donc la clé pour contribuer à réduire les émissions. Nous voulons démontrer – et c’est le cœur de cette initiative – que les investissements dans les innovations écologiques sont payants. C’est pourquoi à Glasgow, je vais lancer un partenariat, avec Bill Gates et son programme «Catalyst» de Breakthrough Energy. (…)
Dernier point et non des moindres, la 4ème initiative que nous lancerons vraisemblablement – nous y travaillons encore – consiste à rassembler les États-Unis, le Royaume-Uni, l’Allemagne, la France, et l’Union européenne pour lancer avec l’Afrique du Sud un partenariat pour une transition énergétique juste. L’idée est que les pays aident l’Afrique du Sud à abandonner progressivement et plus vite le charbon et à passer plus tôt et plus vite aux énergies renouvelables.” (…)
Présentez-nous Osengo, ses activités, ses objectifs, ainsi que votre rôle.
OSENGO est un organisme spécialiste dans la formation professionnelle continue, créé en 1981. Nous avons près de 30 sites de formation permanents et sommes aujourd’hui implantés sur 4 grandes régions : Auvergne-Rhône-Alpes, Occitanie, Nouvelle Aquitaine, Centre-Val de Loire.
Depuis 40 ans, Aformac devenu Osengo en 2020, propose des formations dans les secteurs du Sanitaire & Social – Services à la Personne, de l’Hôtellerie – Restauration, de l’Administratif – RH – Comptabilité – Commerce et du Numérique, dans le cadre de parcours individualisés. Formations, en présentiel, à distance, individualisées, en situation de travail, VAE, ingénierie pédagogique, conseil aux entreprises, coaching individuel…
Les champs d’actions d’OSENGO s’adressent à tous les publics (salariés, demandeurs d’emploi ou entreprises) pour les accompagner dans leur accès à la formation, leur valorisation personnelle, leur évolution des compétences, la reconversion, ou la création de projet.
Je travaille comme coordinateur de projets européens, principalement de projets financés par Eramsus+ pour le département Osengo Europe. Il a été créé par le groupe Aformac, avant de s’appeler Osengo, pour les sujets liés à l’Europe. Nous avons mené de nombreux projets de mobilité et d’ingénierie pédagogique. Depuis lors, nous avons développé un solide réseau de partenaires européens (40 partenaires dans 16 États membres de l’UE) et proposons des stages Erasmus à nos publics.
Quels projets européens menez-vous au sein d’OsenNGo et avec quels partenaires ?
Pour le moment nous menons plusieurs grands projets (KA2 pour les connaisseurs soit Key-Action 2 ou Action-Clé 2) financés par Erasmus+ ainsi que des projets de mobilité (internes et externes).
Pour la mobilité en interne nous avons 2 projets : VOLEO 2 et VOLEO 3 qui sont des projets de mobilité Erasmus+ pour nos apprentis et stagiaires ainsi que les formateurs et le personnel enseignant. Nous travaillons également pour les missions locales pour une mise en place d’un projet de mobilité pour leurs conseillers.
Du coté des projets de partenariats stratégiques d’innovation nous travaillons sur pas moins que 8 projets, qui s’étalent sur 2-3 ans chacun :
BlendedVET : Former les enseignants de l’EFP à transformer des formations existantes en un apprentissage mixte (Blended Learning) ou à créer des nouvelles formations de ce type
FOSTER : L’objectif général du projet est de favoriser la participation des jeunes ayant des besoins spécifiques à la mobilité dans l’EFP, en facilitant leur transition vers le marché du travail et leur intégration sociale.
Pro-Women : Ce projet veut promouvoir l’égalité des chances et l’inclusion sociale des femmes peu qualifiés et/ou au chômage en fournissant des outils pour leur formation et autonomisation. En prenant comme secteur d’intervention le secteur du tourisme
LiNT : ce projet vise à donner des outils de base à des jeunes qui souhaitent se lancer dans une aventure professionnelle. C’est en complément à des savoirs faire professionnels pour leur permettre de comprendre les démarches administratives, financiers, et de communication nécessaire avec les compétences professionnelles à la création d’entreprise.
ProWell : L’objectif du projet sera de mettre en place une formation en ligne, mixte (Blended) et à distance qui permettra aux enseignants et aux éducateurs de soutenir (pendant l’enseignement) leurs élèves ayant des problèmes de santé mentale.
Nous travaillons aussi sur un projet franco-français notamment avec le GIP FCIP de l’académie de Versailles.
FAB MAP : Création de maillons avant une entrée en formation pour qualifier et puis augmenter les compétences nécessaires à l’entrée en formation. Plus généralement l’évaluation et développement des compétences transversales à travers une matrice d’évaluation composé de 12 axes et 4 niveaux.
Et sur un projet plus large directement financé par la commission européenne qui s’appelle WeSkill : conception de programmes d’études transnationaux et des contenus de formation dans le secteur du tourisme de bien-être et de spa. Cinq programmes modulaires transnationaux seront élaborés sur la base des acquis de l’apprentissage pour des apprenants et des employés du CEC 4.
Depuis 2021, vous avez décidé d’accueillir un Kiosque Europe. Pourquoi ?
Pour le groupe OSENGO, il a toujours été important d’intégrer une démarche internationale et européenne dans nos services et formations. Nous avons alors souhaité en 2020 de créer, au sein de nos centres de formation, un « corner européen » afin d’informer nos stagiaires et aussi le personnel sur les thématiques « Europe ».
Comme déjà mentionne notre organisme est engagé dans une démarche pro européenne et nous militons pour des départs en Erasmus+ à travers nos projets de mobilité que nous coordonnons mais aussi à travers des partenariats stratégiques que nous expérimentons avec notre public. Mais nous souhaitions aussi parler plus largement de ce qui est « l’Europe » de ce que ça peut apporter au quotidien pour rendre plus visible en quoi cela bénéficie aux personnes concernées. Avec les mouvements politiques anti-européens qui émergent il est aussi important de pouvoir communiquer sur ce que fait l’Europe et c’est ce que nous avons choisis de faire en installant un Kiosque Europe dans toutes nos sites de formation en lien avec les CED respectifs des départements. (Toulouse, Montluçon, Aurillac, Bourges, Limoges, Clermont-Ferrand, Echirolles).
Des projets à venir ?
Nous souhaiterons reprendre notre travail avec la région Auvergne-Rhône-Alpes sur les mobilités des demandeurs d’emploi et jeunes des missions locales que nous avions fait des nombreuses années avec les projets « Audace » mais qui n’a pas pu être renouvelé pour le moment suite à la fusion des régions et le nouveau programme d’Erasmus+.
Suite aux impacts du Covid sur nos activités de réception de stagiaires étrangers à Lyon nous devons repenser l’accueil et aussi l’envoi des stagiaires et étudiants ce qui n’est pas de tout repos. D’ailleurs si vous avez connaissance de familles qui voudraient devenir famille ou entreprise d’accueil à Lyon faites-nous signe !
Coté grands projets, en cette fin d’année 2021 nous attendons les résultats de nos nouvelles idées de projets innovation soumis. Cette année j’ai écrit et soumis 4 nouvelles propositions de projets et nous avons été sollicités pour 9 autres comme partie prenante. Alors j’ai hâte de connaitre les résultats et de travailler ou retravailler avec des nouveaux ou anciens partenaires.
Nous organisons un événement de présentation de résultats pour notre projet Pro-Women qui se termine, pour mettre en lumière le travail fait par un groupe de femmes migrantes pour ce projet.
Je peux aussi vous donner rendez-vous pour le séminaire final de notre projet Fab-Map qui aura lieu le 18 novembre en ligne !
Si vous souhaitez ne savoir plus n’hésitez pas à me contacter directement : m.schaefer@osengo.fr
Les Erasmus Days sont nés en 2017, afin de fêter les 30 ans du célèbre programme de mobilité. Après avoir rencontré un énorme succès, l’anniversaire d’Erasmus est désormais célébré chaque année en octobre.
Pendant 3 jours, les établissements d’enseignement de la primaire à l’éducation supérieur, sans oublier les centres de formation des apprentis et de formation professionnelle, ainsi que les collectivités ou encore les Centres Europe Direct organisent des événements partout en Europe.
Valorisation des projets européens, expositions, débats, jeux, projections de films, témoignages… Autant de manières de s’engager pour la citoyenneté européenne.
Depuis 2018, le Centre Europe Direct Clermont Puy-de-Dôme fête chaque année les Erasmus Days que ce soit pendant Clermont Fête Ses Etudiants et la Nuit des Etudiants du Monde, à La Jetée où dans les Kiosques Europe du département.
En 2020, 5 024 événements ont été organisés dans 84 pays. Cette année, les ErasmusDays auront lieu les 14, 15 et 16 octobre.
Cette année encore, “l’Europe en courts” vous propose une projection de courts-métrages européens sélectionnés par le Festival international du court-métrage !
Rendez-vous vendredi 15 octobre à 17h30 à la Jetée, pour découvrir gratuitement 5 films de la compétition 2021.
Au programme :
Présentation du Pass sanitaire obligatoire
Port du masque obligatoire
Gratuit
Sur inscription sur simple e-mail ou appel
Et comme l’année dernière, deux nouveaux Kiosques Europe seront inaugurés pour les Erasmus Days !
En 2020, c’était au Lycée professionnel Pierre Boulanger à Pont-du-Château et en 2021, ce sera au Lycée professionnel François Rabelais à Brassac-les-Mines le 14 et au collège Lucie Aubrac à Clermont-Ferrand le 15 octobre.
Le Mouvement Européen Auvergne, les Jeunes Européens Auvergne et le DAREIC (Délégué académique aux relations européennes et internationales et à la coopération) seront présents lors des 2 inaugurations.
C’est également depuis 2018 que l’Université Clermont Auvergne organise le concours “My Erasmus Spot“.
La Direction des Relations Internationales et de la Francophonie de l’UCA propose à des étudiants ayant effectué un séjour à l’étranger dans le cadre d’une mobilité « Erasmus » de présenter une vidéo de 30 secondes sur cette mobilité. Les lauréats de l’édition 2021 seront annoncés à l’occasion de la Journée de la mobilité Internationale organisée par la DRIF le jeudi 14 octobre 2021.
Envoyez vite votre vidéo à la DRIF !
Pour trouver l’inspiration ou pour en prendre plein les yeux, voici les vidéos gagnantes des 3 dernières éditions !
Gagnante 2020
Lia TSNOBILADZE, Master Choreomundus
Gagnante 2019
Laurie Fartaria, Erasmus à Glasgow
Gagnant 2018
Avril Dutheil, Erasmus à Birmingham
Dans la presse :
– Inauguration du Kiosque Europe à Brassac-les-Mines : article sur le site de l’Académie de Clermont 21/10/21
– Inauguration du Kiosque Europe au collège Lucie Aubrac à Clermont-Ferrand : article dans La Montagne 21/10/21
– Journée Erasmus Days à l’école Jean Rostand à Riom : article dans La Montagne 15/10/21
Financé par l’Union européenne dans le cadre de l’Action Marie Skłodowska-Curie du programme Horizon 2020, Highlands 3 vise à développer une base de données et un réseau coopératif entre des zones de montagnes du monde entier afin de recenser et analyser les initiatives locales de développement durable.
Le projet concerne tous les grands massifs :
– européens : Massif Central, Pyrénées, Alpes, Highlands, Alpes scandinaves, Carpates, Balkans, Cordillère cantabrique ;
– africains : Atlas et Hauts Plateaux d’Afrique de l’Est ;
– asiatiques : la chaîne de l’Himalaya et les montagnes du Proche et Moyen-Orient ;
– et américains : Andes, Cordillère atlantique, Rocheuses et Appalaches.
C’est un projet européen d’envergure mondiale !
Partons à la rencontre du partenaire du Puy-de-Dôme de ce projet, pour mieux comprendre en quoi il consiste.
Pouvez-vous vous présenter ?
Je suis Eric Cournut, et je travaille au Parc Livradois-Forez en tant que Directeur adjoint. Je coordonne le programme européen LEADER du Livradois-Forez depuis son origine et j’ai également en charge les projets de coopération transnationale ainsi que le Conseil scientifique et les relations avec la recherche. D’une façon générale je m’occupe des relations avec les autres territoires structurés comme le nôtre en France et à l’étranger. En effet, c’est l’une des priorités du programme européen LEADER que d’encourager les projets de coopération entre les territoires ruraux de l’Union européenne.
En quoi consiste le projet HIGHLANDS et quels sont ses objectifs ?
C’est un projet de recherche qui a été retenu en fin d’année 2019 pour un financement de la Commission européenne dans le cadre du programme Horizon 2020. Il regroupe plus de 40 partenaires du monde de la recherche ainsi que des représentants de territoire ruraux des différents massifs montagneux du monde. Son principal objectif est de constituer une plateforme d’aide à la décision regroupant un grand nombre d’initiatives de développement durable dans les zones de montagne. 8 sessions de 1 mois chacune seront organisées dans les 4 prochaines années dans chacun des principaux grands massifs montagneux du monde. Elles regrouperont une quarantaine de chercheurs et de développeurs qui visiteront et analyseront une cinquantaine d’initiatives identifiées, en suivant une méthodologie élaborée préalablement. Le projet vise également à permettre des échanges entre les différents partenaires notamment de jeunes chercheurs qui pourront aller pendant une période (minimum 1 mois, maximum 1 an) conduire un projet, un échange avec un partenaire d’un autre massif de montagne. L’objectif étant de créer un réseau efficace et vivant entre ces partenaires.
Comment est née l’idée d’une telle initiative ?
L’initiative part du constat que les massifs montagneux du monde ont les principales ressources en eau et en minerais de la planète, mais qu’ils sont aussi le refuge des principales guérillas et abritent une part importante des populations pauvres et démunies. Il y a donc un enjeu pour la recherche mais aussi d’un point de vue politique à créer un réseau entre ces massifs pour partager des initiatives porteuse de développement et d’avenir.
Le projet HIGHLANDS est une initiative européenne, (programme, financement et nationalité des partenaires), mais à portée mondiale avec des sites et des partenaires sur tous les continents. Comment envisagez-vous cette perspective ?
En effet c’est une véritable gageure de regrouper sur une session de 1 mois des participants de plus de 40 institutions et 32 pays ! Surtout en cette période de pandémie. Les Européens sont les plus représentés mais il y a un enjeu fort à mobiliser les partenaires des autres pays afin d’avoir in fine un vrai réseau mondial.
Le séminaire préparatoire a eu lieu à Saint-Rémy-sur-Durolle, dans le Puy-de-Dôme. Pourquoi ici et quelles sont les prochaines étapes ?
Le Parc Livradois-Forez, en devenant partenaire de ce projet, est le territoire qui accueille la 1ère session de 1 mois en septembre octobre 2021. Nous avons accepté d’accueillir le séminaire préparatoire en juin à Saint-Rémy-sur-Durolle pour que les participants (issus de 7 pays européens) puissent travailler à la méthodologie de recueil des initiatives tout en étant dans le territoire qui accueillera la 1ère session et ainsi s’en imprégner tout en découvrant son organisation et quelques-uns de ses projets.