Je suis née et j’ai grandi à Colle Val d’Elsa, une petite ville nichée dans la campagne toscane, une région riche en histoire et en traditions culinaires italiennes. Une ville qui, en grandissant, me semblait trop petite, et c’est pourquoi, après le lycée, j’ai décidée d’aller étudier à Londres, ma passion : les relations internationales.
Après 3 ans, j’ai obtenu mon diplôme, mais mon parcours académique ne s’est pas arrêté là. J’ai choisi de me spécialiser dans un domaine qui me passionnait beaucoup : la relation entre les politiques européennes et le changement climatique.
Ces études m’ont permis de rencontrer des personnes incroyables et de découvrir des endroits magnifiques, ce qui est déjà en train de se reproduire ici à Clermont. Je n’ai pas toujours su exactement ce que je voulais faire dans le futur, mais j’ai toujours su ce que je ne voulais pas faire. Après mes études, j’ai réalisé plusieurs stages à travers l’Europe et ailleurs, nourrissant ainsi ma soif de voyages et de découvertes en même temps.
Un jour, par hasard, je suis tombée sur une annonce de volontariat franco-italien dans cette ville nichée entre la verdure et des volcans endormis, Clermont-Ferrand, et j’ai décidé de postuler. J’ai toujours voulu faire partie d’équipes qui organisent des projets à l’échelle nationale, européenne, comme celle d’Europe Direct, et internationale, en diffusant les valeurs fondamentales de l’Union européenne.
En même temps, j’ai voulu mettre l’accent sur ce que l’on appelle à tort la “diplomatie douce” — c’est-à-dire les partenariats et les projets — mais qui, en réalité, représentent le cœur fondamental de la paix et de la coopération entre les peuples, voisins ou lointains. Et ça, je peux le faire grâce à plusieurs projets dans le département des relations internationales de la ville.
Grâce à ce projet de service civique, j’ai l’opportunité d’apprendre à animer des ateliers, à diffuser des informations et à créer des projets ayant un impact. Tout cela, tout en perfectionnant une langue qui me tient à cœur — le Français — et en vivant dans une région incroyablement riche comme Auvergne-Rhône-Alpes.
Bien que je sois ici depuis seulement quelques semaines, je me sens déjà chez moi ; j’ai déjà rencontré de nombreux volontaires dynamiques et jeunes clermontois avec qui j’ai partagé de très beaux moments.
J’espère que ce n’est que le début !
Mikita effectue sa mission de volontariat à Clermont-Ferrand jusqu’à l’été 2025, grâce à un partenariat avec l’association Concordia Auvergne.
Celle-ci promeut l’engagement et la mobilité internationale, notamment en mettant à disposition la volontaire franco-italienne auprès de la Ville de Clermont-Ferrand.
Par exemple, si en France le dessert traditionnel est la bûche de Noël, c’est le Panettone en Italie, le plum pudding en Irlande, le Beigli en Hongrie, les fritule en Croatie, le turrón en Espagne ou encore le Christstollen en Allemagne.
En Belgique et au Luxembourg, on fête la Saint-Nicolas le 6 décembre. S’il ressemble au Père Noël, ce n’est pas le même personnage, la preuve il n’a pas de traîneau mais voyage à dos d’âne. Et attention, il est toujours accompagné du Père fouettard !
Le 13 décembre, c’est la Saint-Lucie. Et c’est ce jour-là que les Suédois fêtent Noël.
Selon la tradition, la nuit du 13 décembre était la plus longue de l’hiver. Pour illuminer la longue nuit et se protéger des esprits malins, les Suédois désignent la Sainte-Lucie comme la porteuse de la lumière. Car Lucie veut dire lumière !
En Tchéquie, dans la nuit du 24 décembre, on joue pour savoir si l’année à venir sera bonne. Si on arrive à voir une étoile dans une pomme coupée en deux, c’est que celle-ci nous protégera tout au long de la nouvelle année. Lorsque l’on casse 4 noix d’affilée, et que toutes sont saines, alors la santé sera excellente. Aussi, on jette son chausson et s’il atterrit la pointe vers la porte, on aura de la chance toute l’année.
En Tchéquie comme en Pologne, on mange de la carpe, que l’on achetait vivante au marché et que l’on gardait dans sa baignoire jusqu’au repas de Noël !
En Pologne, on fête Noël le 24 décembre, où les enfants regardent le ciel pour attendre l’apparition de la première étoile avant de se mettre à table.
Au Danemark, Noël se dit « Jul » : la roue. C’est la roue de l’année qui tourne une fois de plus vers le printemps.
En Lituanie, on nettoie sa maison de fond en comble la semaine avant le réveillon.
Ce n’est que le 1er de l’An que les petits Grecs reçoivent leurs cadeaux par Saint-Basile. En Grèce, il n’y a pas d’arbre de Noël, mais on peut décorer un bateau.
Les enfants espagnols et italiens sont très patients, car ils ne reçoivent leurs cadeaux que le 6 janvier. Ce sont les Rois mages qui apportent les cadeaux en Espagne et la sorcière Befana en Italie (du Sud). La Befana passe dans chaque maison où vivent des enfants la nuit précédant l’Épiphanie. Les Italiens accrochent une chaussette près de la cheminée ou de la fenêtre. Pour ceux ayant été bons et gentils au long de l’année, la Befana dépose dans leur chaussette des caramels ou des chocolats, en revanche, pour ceux qui n’ont pas été gentils elle remplit les chaussettes de charbon !
Ces écoles envoient et reçoivent des décorations avec l’Autriche, l’Italie, l’Espagne, la Lituanie, la Lettonie, le Portugal, l’Allemagne, la Hongrie, la Tchéquie, la Finlande, la Suède, la Roumanie, la Bulgarie, la Croatie, la Grèce, la Pologne et le Royaume-Uni.
Lancé il y a 19 ans par le Centre Europe Direct de Wrexham au Pays de Galles, le projet est à piloté depuis cette année par le Cercle Europe Citoyennetés et Identités. “European Christmas Tree Decoration Exchange” a battu son record en impliquant 403 écoles regroupant plus de 33000 élèves de 21 pays différents. Cette opération a bénéficié de l’appui de 35 Centres Europe Direct.
Enfin, le Centre Europe Direct Clermont Puy-de-Dôme qui coordonne le projet, érige également son sapin européen en décembre ! Venez l’admirer au 2 rue Saint-Genès à Clermont-Ferrand.
Très engagé pour les mobilités apprenantes, le Lycée professionnel François Rabelais à Brassac les Mines est l’un des 18 “Kiosques Europe” du Département du Puy-de-Dôme.
En octobre 2021 (durant les Erasmus Days), a été inauguré le Kiosque Europe et dévoilée la plaque Erasmus+ du lycée.
Découvrez les projets européens de l’établissement à travers l’interview de Julie Lesguillons, professeure documentaliste.
Je suis Julie Lesguillons, professeure documentaliste et référente mobilité depuis 2015, au lycée professionnel François Rabelais à Brassac les Mines.
Mon parcours personnel m’a très vite amené à m’engager dans les projets européens pour mon établissement, après une année jeune fille au Pair à la sortie de mon Bac, j’ai fait des études Langue Littérature et Civilisation Etrangère Anglais, avant de passer le CAPES de professeur documentaliste. Mon expérience personnelle m’a montré l’importance de la mobilité et le bénéfice que cela pouvait avoir pour les jeunes (et les moins jeunes).
Très vite je me suis investie dans le programme européen Erasmus+, tout d’abord avec le programme Comenius et un partenariat bilatéral avec une école italienne, rencontrée grâce au jumelage de la ville de Brassac les Mines. Puis en 2014, une formation m’a permis de faire la connaissance de personnes également engagées dans les projets européens avec leurs lycées professionnels respectifs. Nous avons décidé de créer un Consortium Erasmus autour de nos formations communes dans les domaines de l’alimentation et du service ; et ainsi réunir nos compétences respectives pour construire un projet pérenne Erasmus+ pour nos établissements.
De là est né le Consortium CEPAGES (Consortium d’Etablissements Publics Auvergnats Garants d’une Europe Solidaire) regroupant le lycée professionnel François Rabelais à Brassac les Mines (63), le lycée professionnel Raymond Cortat à Aurillac (15) et le lycée professionnel Valery Larbaud à Cusset (03). Nous travaillons ensemble depuis maintenant presque 10 ans, certains acteurs du projet sont partis, mais nous avons réussi à pérenniser le projet. Cette année le lycée professionnel Jean Monnet au Puy en Velay (43) a intégré le Consortium CEPAGES.
Le lycée professionnel François Rabelais, est l’établissement porteur du Consortium CEPAGES, et je coordonne le groupe de pilotage de celui-ci.
Au sein du lycée, je suis la référente Erasmus, je coordonne le projet global dans l’établissement, les mobilités des élèves, et les contacts avec nos partenaires. C’est très chronophage mais tellement bénéfique pour les élèves et l’établissement. J’essaie d’impulser de nouveaux projets, trouver/maintenir les contacts.
J’ai également participé à la création d’un Consortium Erasmus+ CDI’S (Changer Découvrir Innover pour Stimuler) de professeurs documentalistes avec les bassins de formation d’Issoire et Brioude, qui nous a permis de travailler sur la place de la lecture et des bibliothèques dans les pays nordiques (Danemark, Norvège).
Depuis 2015 Mobilité d’élèves pour les Période de Formation en Milieu Professionnel, en Espagne, Irlande et Italie, les destinations sont choisies en fonction de la qualité professionnelle qui peut être apportée aux élèves par rapport à leur formation (Bac pro Commerce et Section Euro anglais en Irlande, CAP Cuisine/Restaurant en Espagne, CAP Pâtissier/Chocolatier et, MC Pâtisserie en Italie). Lorsque possible, nous essayons de proposer une mobilité à nos élèves de 3PM.
Notre objectif est de pouvoir faire partir un public peu enclin à la mobilité.
En parallèle, les personnels du lycée peuvent également partir en mobilité du personnel pour effectuer un stage d’observation dans leur domaine professionnel et ou encore suivre des cours en Europe.
Notre établissement est un petit lycée vieillissant en zone rurale, si nous avons pu faire des échanges, ou accueillir des Italiens, des Belges ou encore des Danois, il est difficile de les attirer dans notre petit bourg.
Nous avons commencé les mobilités Période de Formation en Milieu Professionnel avec notre seule classe de Bac Pro, en Espagne et 2/3 élèves. Maintenant les classes de CAP ou 3ème Prépa Métiers participent aussi aux mobilités, 7 formations sur 9 au totale sont dans le programme Erasmus+. Seule deux formations ne sont pas encore entrées dans le programme, le public étant très fragile.
140 élèves et 45 personnels sont partis en mobilité depuis le début du projet. Ces expériences européennes, sont très bénéfiques en termes d’autonomie, d’enrichissement culturel et personnel pour nos élèves. C’est souvent leur première expérience de vie à l’étranger ou tout simplement loin de leur famille. Au-delà de l’expérience professionnelle, nous avons fait le choix de les héberger en famille d’accueil, ils vivent un mois dans une famille et découvrent des rythmes de vie différents de la leur. Même si la langue peut sembler une barrière pour les élèves de lycées professionnels, ils trouvent vite des solutions pour s’adapter.
Concernant les personnels, certaines mobilités pour stage d’observation ont été très enrichissantes pour découvrir d’autres manières de travailler et d’autres relations à l’élève, comme l’accueil par un établissement danois de 6 professeurs sur 2 années. Plusieurs professeurs sont allés en Espagne en stage d’observation, des liens se tissent et permettre de mettre en place d’autres projets. Des collègues s’engagent aussi sur des cours de langue à l’étranger afin d’être plus à l’aise lorsqu’ils doivent accompagner leurs élèves lors de mobilités.
La nouveauté de cette année, est l’organisation de mobilités de groupe, enfin permises par l’Europe à nos élèves de lycées professionnels. Nous attendions cela depuis des années, ces mobilités vont permettre à des élèves fragiles ou très jeunes d’avoir une première expérience de mobilité avec leur professeur avant d’envisager une mobilité seul pour effectuer leur Période de Formation en Milieu Professionnel.
Cela nous permettra aussi de réactiver certains contacts avec des établissements partenaires, notamment un gros centre de formation professionnel en hôtellerie restauration dans les Pouilles en Italie, nous avions accueilli un de leur professeur de cuisine en tant qu’invité expert en 2022.
photo : Nazar RIBAK
Le vernissage a eu lieu au prestigieux Musée des Beaux-Arts de Lviv Andrey Sheptytsky le 4 septembre 2024, en présence des artistes exposants se déplaçant spécialement à Lviv pour l’occasion.
L’idée de cette collaboration est née en 2022, lorsque l’Ambassade d’Ukraine en France a sollicité l’association pour organiser la projection du documentaire « Marioupol, l’espoir n’est pas perdu », réalisé par Max Lytvynov. Cette projection s’est tenue dans la ville du Havre, en Normandie, marquant un moment symbolique pour cette ville portuaire qui partage un destin similaire avec Marioupol, ayant été en grande partie détruite durant la Seconde Guerre mondiale.
Le succès de cet événement a conduit à une tournée du film dans plus de 40 villes françaises, dont Clermont-Ferrand en mai 2024.
Photo : Nazar RIBAK
Ce projet a pour objectif de promouvoir les échanges entre artistes ukrainiens et français, tout en renforçant les liens culturels entre nos 2 pays.
L’exposition réunit des artistes français tels qu’Eva Dalmat, Mickaël Doucet, Anthony Duranthon et Cindy Soula, accompagnés du photographe Yann Vernerie, ainsi que des artistes ukrainiens comme Olesia Trofymenko, Tetiana Yagodkina, Artur Kotyk et d’autres créateurs talentueux. Ces artistes vous invitent à découvrir leurs œuvres variées, allant de la peinture à la sculpture, en passant par la métalloplastie.
Clermont-Ferrand a participé en finançant la participation de l’artiste Anthony Duranthon, sélectionné après un appel à candidatures lancé par l’association “Les Arts en Balade“.
L’actualité de Lviv du 4 septembre 2024, marquée par des événements liés à la guerre, a teinté ce projet artistique d’une réalité poignante. Cela a renforcé la symbolique de l’exposition, où l’art devient à la fois un témoignage de résilience et un moyen de guérison. Le projet inclut également des œuvres de 7 artistes-soldats ukrainiens, pour qui l’art est une forme de thérapie.
Photo : Nazar RIBAK
Photo : Nazar RIBAK
Les artistes ont exploré les expositions d’Olexandr Sukholit et de Maria Primachenko, 2 des artistes les plus célèbres de Lviv au Musée national Andrey Sheptytsky, ainsi que celle consacrée à Volodymyr Patyk. Malgré la guerre qui a conduit à mettre temporairement à l’abri une grande partie des collections, ces découvertes ont enrichi les échanges entre les artistes français et le patrimoine ukrainien, ajoutant une profondeur supplémentaire à leur collaboration. Ils ont également exploré l’Académie nationale des beaux-arts et d’architecture de Lviv, son école préparatoire, et le village de Drohobych, en découvrant l’histoire de Bruno Schulz à travers le musée et l’église Saint-Georges, classée au patrimoine mondial de l’UNESCO, ainsi que la mine de sel.
Photo : Nazar RIBAK
“Ce fut une expérience profondément marquante, tant sur le plan humain qu’artistique.”
“Dès notre arrivée, j’ai ressenti un mélange d’excitation et d’appréhension face à l’ampleur du projet et aux rencontres qui nous attendaient. La visite de l’Académie nationale des arts de Lviv, nos échanges avec le recteur et les artistes locaux, ainsi que la découverte des lieux de mémoire comme “Le champ des morts”, m’ont profondément touché. Le contexte de la guerre, bien sûr, a imprégné chaque moment de notre séjour, rendant nos interactions encore plus intenses et empreintes de solidarité.
Le jour de l’attaque à Lviv, le 4 septembre, restera gravé dans ma mémoire.
Ce drame nous a tous rappelé la fragilité de la vie et l’importance de la culture comme moyen de résilience. Malgré la tristesse et l’horreur de cette journée, j’ai été impressionné par la dignité et la force des habitants et des artistes. Ils continuent à créer et à s’exprimer malgré tout, et cela m’a profondément inspiré.
Tableau “A smile for Ukraine” d’Anthony Duranthon, encre sur papier
Photo : Nazar RIBAK
L’exposition UKRAFT au Musée national, que nous avons inaugurée dans un tel contexte, a pris un sens encore plus fort. J’ai ressenti une grande fierté de participer à ce projet qui symbolise la rencontre et le dialogue entre nos cultures, et j’espère que nos œuvres continueront à faire écho à cette solidarité.
Ce voyage a aussi été l’occasion de tisser des liens précieux avec mes collègues artistes, ainsi qu’avec les habitants de Lviv, qui nous ont accueillis avec une générosité inoubliable. Nos excursions à Drohobytch et dans d’autres lieux emblématiques m’ont permis de mieux comprendre la richesse culturelle de la région, et je suis profondément reconnaissant pour toutes ces découvertes.
En somme, cette expérience a été marquée par des émotions intenses, oscillant entre admiration, tristesse, et espoir. Elle m’a profondément transformé, tant en tant qu’artiste qu’en tant qu’individu. J’espère pouvoir prolonger ce dialogue artistique avec nos amis ukrainiens et contribuer à porter leurs voix, ici en France.”
Ce projet de communication constitue une alliance inédite entre la Commission européenne et les autorités locales des 27 pays de l’UE.
En rejoignant le réseau BELC, les élu.e.s bénéficient :
Forts de cet appui, les membres sont encouragés à :
La collectivité locale est donc partenaire de BELC.
Elle désigne un.e élu.e qui sera membre actif et qui entretient une relation privilégiée avec les institutions européennes.
Mais elle peut également jouer le rôle de coordinateur en se positionnant comme « ambassadrice » du projet auprès d’entités de plus petites tailles.
Jérôme Auslender,
Adjoint au Maire de Clermont-Ferrand en charge des affaires européennes et des relations internationales,
membre du réseau BELC
Florian Morelle,
Conseiller départemental du Cantal,
membre du réseau BELC
Puy-de-Dôme : Jérôme Auslender, Ville de Clermont-Ferrand
Cantal : Patricia Rochès, Commune de Coren-les-Eaux ; Romuald Rivière, Commune de Val d’Arcomie et Florian Morelle, Conseil Départemental du Cantal
Isère : Chokri Badreddine, Commune de Voiron et Emmanuel Carroz, Ville de Grenoble
Savoie : Olivier Jézéquel, Commune de La Bâthie
Rhône : Frédéric Pronchéry, Commune de Belleville-en-Beaujolais, Cédric Szabo, Association des maires ruraux de France et Jacky Ménichon, Communauté de communes Saône Beaujolais
Pour devenir membre du réseau BELC, il faut remplir le formulaire de candidature, de télécharger la déclaration avec la signature de l’élu.e et du représentant légal de l’autorité locale, et de la soumettre. Une délibération votée en Conseil municipal/départemental/régional est souvent nécessaire pour la collectivité.
L’Université Clermont Auvergne fait partie des lauréats de l’appel Erasmus+ 2024 “universités européennes”, qui vise à soutenir les alliances entre établissements d’enseignement supérieur en Europe.
En juin 2024, 14 nouvelles alliances entre universités européennes dont l’UCA, rejoignent les 50 alliances précédemment sélectionnées et recevront chacune jusqu’à 14,4 millions d’euros sur une période de 4 ans.
La liste complète des nouvelles alliances lauréates est à télécharger ici.
Ces 64 alliances entre universités européennes regroupent plus de 560 établissements d’enseignement supérieur de tous types, dans toutes les régions d’Europe.
Les résultats marquent une étape importante dans la réalisation de l’objectif de la stratégie européenne pour les universités, qui est de disposer d’au moins 60 alliances entre universités européennes et plus de 500 universités d’ici la mi-2024.
L’alliance d’universités européennes pilotée par l’UCA se nomme ARTEMIS (“Alliance for Regional Transition, Equality, Mobility, Inclusion, and Sustainability”) et réunit :
Il est à noter que l’Université nationale “Mykhailo Ostrohradskyi” de Krementchouk en Ukraine (ville jumelle de Clermont-Ferrand), est partenaire associée de cette alliance.
L’UCA a signé un Memorandum en mai dernier. Cet accord officialise la coopération entre les deux institutions, renforçant ainsi leur engagement commun en faveur de l’excellence académique et de la recherche européenne.
Les alliances entre universités européennes rassemblent une nouvelle génération d’Européens et leur permettent d’étudier et de travailler dans différents pays européens, dans différentes langues et entre secteurs et disciplines universitaires. Les étudiants peuvent obtenir un diplôme de haut niveau en combinant des études dans plusieurs pays européens, contribuant ainsi à l’attractivité et à la compétitivité internationales de l’enseignement supérieur européen. Ces alliances apportent également l’innovation aux régions d’Europe en permettant aux étudiants de collaborer avec des universitaires, des chercheurs, des entreprises, des villes, des autorités et des organisations de la société civile.
L’initiative universités européennes soutient des alliances transnationales regroupant, en moyenne, neuf établissements d’enseignement supérieur qui peuvent comprendre différents types d’établissements, tels que des universités globales et de recherche, des universités de sciences appliquées, des instituts de technologie, des écoles d’arts et des établissements d’enseignement et de formation professionnels supérieurs.
Ces établissements d’enseignement supérieur développent une coopération structurelle, durable et systémique à long terme dans le domaine de l’éducation, en synergie avec la recherche et l’innovation, par-delà les frontières, et contribuent à relever les défis de société. Ils proposent des programmes d’études dispensés conjointement dans des campus interuniversitaires, sur lesquels les étudiants, le personnel et les chercheurs de toutes les régions d’Europe peuvent bénéficier d’une mobilité fluide.
Les 64 alliances couvrent 35 pays, dont tous les États membres de l’UE, ainsi que l’Albanie, la Bosnie-Herzégovine, l’Islande, le Monténégro, la République de Macédoine du Nord, la Norvège, la Serbie et la Turquie. Près de 40 établissements d’enseignement supérieur ukrainiens sont des partenaires associés.
Nous avons atteint l’un des objectifs clés de la stratégie européenne en faveur des universités: nous soutenons désormais 64 alliances entre universités européennes qui favorisent une coopération accrue entre plus de 560 établissements d’enseignement supérieur dans toute l’Europe. Ensemble, ils construisent des campus interuniversitaires européens, où les étudiants ont des possibilités sans précédent d’étudier par-delà les frontières, en tirant parti des meilleures offres que les universités doivent offrir ensemble. Ils pourront s’inscrire à des programmes d’études communs et, espérons-le, obtenir des diplômes européens dans un avenir proche. Ensemble, les alliances contribuent à forger un fort sentiment d’appartenance européenne.
Margaritis Schinas, Vice-Président chargé de la promotion de notre mode de vie européen
crédits photo : Commission européenne
crédits photo : Commission européenne
Notre engagement en faveur des alliances entre universités européennes est fort. Comme l’a déclaré Enrico Letta dans son rapport sur l’avenir du marché unique, ces alliances sont au cœur de ce qui pourrait devenir la cinquième liberté de notre marché unique, à savoir la liberté d’apprendre, d’étudier, d’enseigner et de faire de la recherche sans frontières sur tout le continent. Je félicite chaleureusement tous les établissements d’enseignement supérieur pour leur succès. Les 64 alliances construisent désormais l’avenir du secteur européen de l’enseignement supérieur.
Iliana Ivanova, Vommissaire à l’innovation, à la recherche, à la culture, à l’éducation et à la jeunesse
Coordonné par le Centre EUROPE DIRECT Clermont Puy-de-Dôme et animé avec de nombreux partenaires (associatifs et institutionnels), le programme propose animations, expositions, rencontres, projections, débats et bien d’autres événements qui mettent en avant l’UE, son histoire, la citoyenneté européenne, les 27 pays qui la composent, et aussi ses actions (mobilité, lutte contre le changement climatique, solidarité avec l’Ukraine…). L’objectif est de faire découvrir l’UE, de rassembler les citoyen.ne.s européen.ne.s lors d’événements festifs, culturels, informatifs et grand public, sur tout le territoire.
Toutes nos actions sont gratuites, certaines sur inscription. Vous trouverez forcément une activité pour vous, près de chez vous !
Cette année nous redoublons d’énergie pour diffuser les valeurs de l’UE car nous nous apprêtons à voter pour les Député.e.s européen.ne.s qui nous représenteront au sein du Parlement européen ! Les Député.e.s européen.ne.s sont élu.e.s au suffrage universel direct tous les 5 ans depuis 1979. Le Parlement européen est la seule institution européenne directement choisie par les citoyens et les citoyennes de l’UE.
Le 9 juin prochain, utilisez votre voix !
2 mai : Fête de l’Europe sur la Place de la Victoire de 17h à 20h (jeux, musique, théâtre d’impro, dégustations…).
15 mai : Forum de la Mobilité internationale au Centre Anatole France à Clermont-Ferrand, suivi de l’inauguration du nouveau tiers-lieu jeunesse.
25 mai : La Nuit de l’Image Européenne, de 15h à minuit au Jardin Lecoq à Clermont-Ferrand.
17-20 mai : “Les Arts en balade” de Michal Trpák au Corum Saint-Jean à Clermont-Ferrand
21 mai – 14 juin : “L’Irlande dans l’Europe“, par l’Académie royale irlandaise et les Archives Nationales irlandaises sur les grilles du Jardin Lecoq
2 vidéos réalisées par le média auvergnat En Vrai.TV
5 podcasts réalisés par l’Onde porteuse, radio associative Le Chantier
2 mai : Jeu de piste géant “Europe Express” de 14h à 16h pour les collèges et lycées de Clermont-Ferrand (sur inscription)
3 mai : Animation “L’Europe Par les Jeunes” à Cournon-d’Auvergne
7 Mai : Atelier citoyenneté et élections européennes au centre Unis-Cité à Clermont-Ferrand
16 mai : Animations européennes à l’école Jean Rostand à Riom
22 mai : Atelier citoyenneté et élections européennes à RVL info-jeunes à Riom, suivi d’un ciné-débat.
24 mai : Spectacle « À la recherche de la morale perdue » de la Società Dante Alighieri de Clermont en partenariat avec l’Institut Culturel Italien de Lyon, à 19h à la chapelle du Bon Pasteur à Clermont-Ferrand (entrée libre)
28 mai : Atelier citoyenneté et élections européennes pour les agent.e.s de la Ville de Clermont-Ferrand
29 mai : Jeu de piste “Europe Express” à Riom de 14h à 16h (sur inscription auprès de RLV Info-Jeunes)
30 mai : Promenade européenne pour les agent.e.s de la Ville de Clermont-Ferrand et de Clermont Auvergne Métropole
31 mai : Animation “L’Europe Par les Jeunes” au Lycée d’Issoire
21 mai : Projection du documentaire sur l’Ukraine “Marioupol, l’espoir n’est pas perdu” à 18h30 à l’espace Conchon à Clermont-Ferrand, suivie d’un débat
23 mai :
“L’Europe des solutions”, Rencontre avec la Banque Européenne d’Investissement et la Représentation de la Commission européenne en France autour de projets financés par des fonds européens sur la journée à Clermont-Ferrand
Conférence “Les enjeux de l’actualité européenne” à 20h à l’Espace Culture et Congrès de Ceyrat
24 mai : Simulation de Parlement européen pour les volontaires d’Unis-Cité à l’Hôtel de ville de Clermont-Ferrand
29 mai :
Visite commentée du photojournaliste Yan Morvan de son exposition « Résistances Mémorielles » à 14h à l’Hôtel Fontfreyde à Clermont-Ferrand
Rencontre débat autour des photos du photojournaliste Yan Morvan « Conflits et construction européenne », à 18h salle Conchon à Clermont-Ferrand
Retrouvez tous les détails du programme dans la section ‘événements’ de notre site !
Le Joli Mois de l’Europe est coordonné par le Centre EUROPE DIRECT Clermont Puy-de-Dôme, qui est un centre d’information sur l’Europe pour le grand public, porté par la Ville de Clermont-Ferrand et le Département du Puy-de-Dôme. Un programme si varié sur l’ensemble du Puy-de-Dôme est possible grâce à de nombreux partenaires, que le Centre EUROPE DIRECT remercie vivement !
Les partenaires :
La Représentation de la Commission européenne en France – La Ville de Clermont-Ferrand – Le Conseil Départemental du Puy-de-Dôme – La Banque Européenne d’Investissement – EUROPE DIRECT Ceské Budejovice – L’Université Clermont Auvergne – L’Académie de Clermont-Ferrand – Toute l’Europe
Jeunes Européens Auvergne – WorldTop ESN – Mouvement Européen Auvergne – Concordia Auvergne – CaciAura, études et chantiers – RLV Info-Jeunes ! – En Vrai.TV & L’Onde porteuse – Unis-Cité Allier-Puy-de-Dôme-Cantal – Agir ensemble pour l’Ukraine – Società Dante Alighieri – Les Arts en balade – Flax – Clermont Participatif
Dans les médias :
L’Ukraine s’invite dans “Le joli mois de l’Europe 2024” – 7 jours à Clermont
Tout savoir sur l’Union européenne grâce aux célébrations du joli mois de l’Europe dans le Puy-de-Dôme – La Montagne
Le mois de mai, c’est le Joli Mois de l’Europe à Clermont-Ferrand et dans le Puy-de-Dôme – Clermont Infos 63
Le Joli mois de l’Europe met l’Union à l’honneur avant le début des élections – Le Semeur hebdo
Au mois de mai, on fête l’Europe ! – Demain Clermont N°357 (page 17)
Une nuit aux couleurs de l’Europe – 7 jours à Clermont
Le Petit Demain N°38 (page 11)
La BEI officialise son prêt de 90 millions d’euros pour le projet InspiRe – 7 jours à Clermont
Un peu d’Europe au cœur du projet InspiRe – La Montagne
Projet InspiRe : La Banque Européenne d’Investissement donne 90 millions d’€ – Clermont Infos 63
Française, Italienne et Ukrainienne, elles nous parlent de leur Europe – La Montagne
À quoi sert l’Europe ? Voici quelques exemples de réalisations européennes dans le Puy-de-Dôme – La Montagne
L’Association Thermauvergne est cheffe de file du projet européen “ThermEcoWat” dans le cadre du programme européen de coopération transnationale “Interreg SUDOE”
Le projet a débuté en janvier 2024 pour une durée 3 ans. Le budget global du projet est de 2 028 858 € cofinancé à 75 pourcent par le FEDER (Fonds Européen de Développement Régional).
Les objectifs du projet sont :
– un nouveau modèle de station thermale, moteur de l’innovation pour la transition énergétique dans les territoires,
– le renforcement de la capacité des territoires thermaux concernés et de leurs opérateurs thermaux, à prendre des décisions éclairées (grâce à un Système d’Aide à la Décision) en matière de gestion de l’eau thermale et en matière de développement social, économique et sociétal (choix d’investissement, économie induite par la géothermie et nouvelles technologies de stockage de la chaleur, rééquilibrage rural/urbain…).
Le périmètre de l’espace SUDOE constitue un terrain d’expérimentation et de démonstration représentatif des différentes contraintes réglementaires et des conditions du changement climatique à différents niveaux d’évolution. Les sites thermaux impliqués dans le projet ThermEcoWat bénéficient de situations géographiques très différentes et sont donc impactés de manière différente par le changement climatique. Cette coopération transnationale à l’échelle du Sud-Ouest européen devrait donc permettre à nos territoires thermaux du Massif central de bénéficier, grâce aux échanges, d’un éclairage complémentaire utile à leur réflexion et à leur positionnement stratégique futur. Les leçons apprises dans d’autres territoires avec différents niveaux d’exposition aux événements climatiques extrêmes devraient permettre d’améliorer la résilience de nos territoires thermaux.
Thermauvergne est née en 1985 du regroupement des Syndicats Intercommunaux Thermaux du Puy-de-Dôme et de l’Allier. Elle œuvre depuis près de 40 ans à la défense des intérêts des stations thermales régionales et effectue la promotion collective du thermalisme auvergnat sous la marque “Auvergne Thermale”.
Thermauvergne porte une ambitieuse stratégie de coopération à l’échelle européenne. Notre association est membre associé de l’Association européenne des Spas (ESPA). Thermauvergne coordonne également des projets européens sur diverses thématiques comme la la prévention santé, l’énergie et l’impact du changement climatique.
L’Association Thermauvergne réunit les stations thermales d’Auvergne, de Creuse et de Saône-et-Loire : Bourbon-Lancy, Bourbon-l’Archambault, La Bourboule, Châteauneuf-les-Bains, Châtel-Guyon, Chaudes-Aigues, Evaux-les-Bains, Le Mont-Dore, Néris-les-Bains, Royat-Chamalières, Saint-Nectaire et Vichy.
L’Association La Route des Villes d’Eaux du Massif Central cheffe est de file du projet européen “GreenSPAS”, dans le cadre du programme de coopération territoriale “Interreg Europe”.
Le projeta débuté en janvier 2024 pour une durée de 4 ans. Le budget global du projet est 1 822 600 € cofinancé à 80 pourcent par le FEDER (Fonds Européen de Développement Régional).
Interreg Europe est le programme de coopération territoriale à l’échelle interrégionale (c’est-à-dire tout le territoire de l’UE) afin de permettre aux autorités locales et régionales d’améliorer leurs politiques publiques grâce à l’échange d’expériences.
Le projet “GreenSPAS” a pour objectif, à travers l’échange d’expériences, de soutenir un modèle plus écologique et plus résilient de villes et régions thermales confrontées au changement climatique en Europe.
L’adaptation au changement climatique est un processus qui consiste à se préparer et à s’ajuster de manière proactive, qu’il s’agisse de ses effets négatifs ou des possibilités qu’il offre.
En facilitant la collaboration entre les exploitants de stations thermales, les responsables des politiques publiques, les organisations environnementales et d’autres parties prenantes pour travailler conjointement à la création de villes et régions thermales d’Europe plus vertes et plus résilientes, il s’agira de partager les meilleures pratiques, d’échanger des connaissances et de l’expertise et de mettre en œuvre des initiatives durables.
Cette coopération à l’échelle européenne vise à permettre aux villes et régions thermales impliquées d’améliorer, grâces aux échanges d’expériences organisés sous forme de visites d’études, les politiques
publiques ciblées par le projet.
Les partenaires trouveront l’inspiration dans d’autres pays pour un modèle plus écologique et plus résilient de villes et régions thermales confrontées au changement climatique en Europe.
La Route des Villes d’Eaux du Massif Central est une association intercommunale regroupant 17 villes d’eaux réparties sur 4 régions et 9 départements.
Les stations adhérentes sont : Bourbon-Lancy, Bourbon-l’Archambault, La Bourboule, Châteauneuf-les-Bains, Châtel-Guyon, Chaudes-Aigues, Cransac-les-Thermes, Evaux-les-Bains, Le Mont-Dore, Montrond-les-Bains, Néris-les-Bains, Royat-Chamalières, Saint-Honoré-les-Bains, Saint-Laurent-les-Bains, Saint-Nectaire, Vals-les-Bains, Vichy. Depuis sa création en 1998, l’Association s’est donné comme objectif le changement d’image des villes d’eaux, en valorisant tout particulièrement leurs spécificités : le bien-être à l’eau thermale et le patrimoine thermal. Depuis 2016, la Route des Villes d’Eaux déploie le concept des Accros du Peignoir, qui vise à rajeunir l’image de la destination villes d’eaux, en renouvelant le ton et les codes de sa communication. La Route des Villes d’Eaux du Massif Central porte une ambitieuse stratégie de coopération à l’échelle européenne. Notre association est membre associé de l’Association européenne des villes thermales historiques (EHTTA) qui a obtenu en 2010 la mention d’Itinéraire culturel du
Conseil de l’Europe. De plus, depuis le 24 juillet 2021, l’une des stations de notre réseau, Vichy, fait partie des 11 villes thermales européennes inscrites sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO sous le nom des Grandes Villes d’Eaux d’Europe. La Route des Villes d’Eaux du Massif central coordonne également des projets européens sur diverses thématiques comme la culture thermale, le tourisme de santé, la prévention santé, l’énergie et l’impact du changement climatique.
Plus de 500 courts métrages, 70 programmes et 50 pays représentés !
Le samedi 3 février 2024 à LieU’topie, 2 fresques de l’équité, qui a été animé par l’association “Women in bloom”, ont été proposée à des petits groupes.
La fresque de l’équité est un atelier créé par “The wonders” pour comprendre les causes et conséquences des inégalités hommes-femme.
Grâce à un format ludique et collaboratif, accessible à tou.te.s, vous pouvez appréhender en groupe les enjeux complexes de ce sujet et mesurer l’ampleur de ses répercussions dans tous les domaines de la société (dont l’économie) pour agir immédiatement après cette expérience.
A cette occasion, nous avons créé et distribué une brochure sur l’Europe et les femmes, encore disponible au 2 rue St-Genès.
Toute la semaine, dans le hall de la Comédie de Clermont, sur un stand partagé avec les Jeunes Européens d’Auvergne, Concordia Auvergne et CaciAura, nous avons proposé des informations, des animations, de la documentation et un photobooth au grand public.
Une brochure sur l’Europe et le cinéma a été créée tout spécialement pour l’événement, toujours disponible au Centre Europe Direct.
Aussi, les Grandes Tables de la Comédie ont proposé un menu européen, avec un pays différent chaque jour !
Le grand jeu « Graines d’Européens » sur la citoyenneté et la culture européenne,
a été animé au Dark Lab, avant le karaoké européen, vendredi 9 février au Lieu-Dit.
Enfin, comme chaque année, le prix du meilleur film européen doté par le Centre Europe Direct a été attribué à :
“2720” réalisé par Basil da Cunha (Portugal/Suisse) !
Ce film est automatiquement candidat dans la catégorie “courts métrages” de la 37ème édition des European Film Awards.
Synopsis : “Après une violente descente de police dans un obscur quartier pauvre de Lisbonne, une petite fille de sept ans part à la recherche de son grand frère disparu. Au même moment, un jeune repris de justice tente de prendre un nouveau départ, loin de son passé de criminel. Les destins de ces deux personnages vont se croiser de manière tragique.”
La dotation de 1 500€ par le Centre Europe Direct va au réalisateur que nous félicitons chaleureusement !
Cette 46ème édition du Festival arrive en 2ème position en termes de fréquentation avec 166 000 entrées !
Bravo à toute l’association de “Sauve qui peut le court métrage” et rendez-vous du 31 janvier au 8 février 2025 !
Ce 1er jeu de cartes postales sera suivi d’un autre très bientôt !